Si le dispositif Girardin industriel est connu pour son fort potentiel à diluer une importante partie de l’impôt sur le revenu, il n’en demeure pas moins que les risques de requalification demeurent à l’ordre du jour. Choisir le bon monteur s’avère donc déterminant, non seulement afin de limiter ces risques, mais aussi dans le but de s’assurer de la qualité du montage.
Les risques liés au Girardin industriel outremer
Rappelons que ce dispositif consiste à financer un projet ultramarin auprès de PME, d’ETI ou de TPE basés dans les DROM COM. L’engagement de l’investisseur est de 5 ans, tandis que l’investissement est dit à fonds perdus, c’est-à-dire sans retour en termes de revenus locatifs.
Les risques proviennent ainsi de différentes sources : une entreprise fragilisée, un secteur d’activité peu prometteur, et de manière générale, un montage défaillant. Dans le cas où la durée d’engagement de 5 ans n’est pas respectée en raison d’un défaut de montage, la mise est définitivement perdue, tandis que la réduction d’impôt versée est rétrocédée à l’administration fiscale.
Choisir un monteur solide, expérimenté et de bonne réputation
Le choix du monteur Girardin est donc extrêmement déterminant afin de limiter ces risques. Celui-ci doit disposer de toutes les informations sur les réglementations régissant les différents territoires ultramarins. Il réalise une veille permanente sur l’actualité socio-économique, voire politique de chaque DROM COM afin d’anticiper les risques. En savoir plus sur www. cf-profina. com.
Le monteur Girardin doit également avoir engrangé une bonne réputation auprès du grand public, sachant que certains opérateurs ont fait l’objet, par le passé, d’une médiocre renommée en raison d’un montage mal ficelé. Collectez les avis des investisseurs, de la presse et des spécialistes en patrimoine avant de choisir votre monteur. Autre point important : vérifiez ce qu’il propose en termes de garanties afin de sécuriser votre réduction fiscale.
